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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:53
ELS stuff #1

Just WRITE! Just WRITE!
Keep WRITING, it's as simple as this!
Just WRITE, WRITE, WRITE please!
It should be alright, (ain't it?),
Well anyway: shut up and WRITE,
But where shall I go now?
Maybe I could turn on the right?
And left behind me all this light?
I feel like WRITING now,
Which, in a way, is a fight,
To the finish, to the end of the night,
And the beginning of Dreams,
Of Dreams and Sight,
And the beginning of Dreams,
Of Dreams and Might...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:52
Je ne dis pas toujours ce que je sais faire,
Je ne sais toujours pas dire ce que je fais,

Je ne te dis pas toujours ce que je fais,
Je ne fais pas toujours ce que je te dis,

Je ne dis pas toujours ce que je te fais,
Je ne te fais pas toujours ce que je dis,

Je ne te dis pas toujours ce que je sais,
Je ne sais pas toujours ce que je te dis,

Je ne sais toujours pas dire ce que j'ai pu te faire,
Je ne sais pas toujours te dire ce que j'ai su faire,

Je ne sais pas toujours te dire ce que j'ai souffert,
Je ne sais que te dire, je ne sais plus que faire,

Je ne fais pas toujours ce qu'on s'est dit,
Je ne sais toujours pas ce qu'on s'est fait?

Je ne sais toujours pas dire pourquoi je le fais,
Je ne sais pas toujours comment faire pour te le dire,

Je ne te le fais pas dire, je sais, mais le pire,
C'est qu'en te disant "je t'aime", je crois savoir ce que je fais...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:50

A ma Muse tout naturellement.

 

 

Ma muse, ma muse, ma muse,
Bon Dieu ce qu'elle m'use,
Elle a du charme et de la ruse,
Elle a des charmes et en abuse,

Ma muse, ma muse, ma muse,
Ne pense qu'à faire mumuse,
Elle mériterait d'être muselée,
Enterrée vivante au mausolée,

Ma muse, ma muse, ma muse,
C'est grâce à elle que fusent,
Les idées par milliers éparpillées,
Au sein de mon Esprit émoustillé,

Ma muse, ma muse, ma muse,
Voici que l'on m'accuse,
Record vitesse homologué,
Pour homicide catalogué,

Me voici fiché,
Tout est fichu!!!
Pourquoi m'être fâché?
Je suis un ange déchu,

Car c'est grâce à elle,
Si un de ces jours-J j'ai,
Ma place d'Immortel,
Au Panthéon, ou dans un musée...

 

(2010)

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:48
Question Bisexualité,
Doit-on parler d'ambiguïté?
Disons plutôt... "Ubiquité":
Le don de se situer,

A la fois du "bon", et "mauvais" côté,
Il faut faire preuve de beaucoup d'habilité,
Mêler l'Invisible à l'Humilité,
Car l'unique et meilleur moyen de militer,

De lutter contre cette extrême Débilité,
Celle de ces extrémistes, nos détracteurs,
Reste encore d'être acteur,
Faire semblant, les imiter,simuler,

Les limiter, obtenir un semblant d'égalité,
Maintenir notre hauteur, notre honneur,
Face à ces oiseaux, ces oisifs de malheur,
La Bisexualité est un communisme sexuel,

Une utopie mal léchée, rebelle,
Mais ses adeptes savent y remédier,
Avec leur Gourmandise si sensuelle,
Pour seul pêché, ils ne peuvent répudier,

A satisfaire aucun de ces bis sexuels,
Où, quoi qu'on en dise, tout le monde se fait fi,
D'avoir à faire la friandise à un beau ou une belle,
L'Hétérosexualité quant à elle se méfie,

De toute forme d'Amour nouvelle,
Elle est une dictature de l'Ennui,
Et du Désir sexuel,
Contrôlé, abruti, amenui,

Une Gestapo qui voudrait la peau,
Aux gays, larrons de Bonheur,
Qui sans le vouloir servent d'appeaux,
A la Haine, la Peur, l'Erreur,

Ils baignent dans l'Opprobre,
Nous pensons nager dans l'eau propre,
D'une morale javelisée, abusée, abusive,
Qui teint le monde d'une blancheur corrosive,

Nous sommes les rejetons batârds,
D'une société acariatre et mal baisée,
Acariens nocifs sur le lit rédhibitoire,
De ce récif nommé "Humanité"...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:47
Dans l'abyssale nuit,
De ce maelström étoilé,
Je m'abandonne à l'Ennui,
Le plus étiolé,

La sombre Ivresse,
D'une Obscurité que caressent,
Les ombres animées,
De mes rêves les plus agités,

Tango d'ombres chinoises,
Sur fond de draps de papier,
Où se forment de manière sournoise,
Mes idées les plus épiées,

Paranoïa nocturne,
De cet être torturé,
A l'air taciturne,
Lunatique égaré,

Que la Nuit tentatrice,
Aime à envelopper,
De ses désirs factices,
Qu'abrite la Canopée,

De l'Inspiration sauvage,
Vice de création divin,
Qui adore cracher au visage,
Du poète anodin...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:46
Vision hallucinogéne,
Songe surréaliste,
Que ce soleil hallogéne,

Qui lentement s'éléve,
Pour éclairer la nuit pacifiste,
Sur le bord de gréve,

Dans les airs, une lampe éclaire,
De ses rayons futuristes,
Ce paysage désert,

Qui comme tes lèvres,
Kystes jaunes à la John Keats,
M'offre le jour, et son rêve,
[Le plus triste...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:44
En première ligne il me faut,
Une idée maline, un bon mot,
Quelque chose de sublime,
Puis en seconde, une rime,

Pour la deuxième strophe,
L'idéal serait une apostrophe,
Qu'en penses-tu cher lecteur?
Allons, allons, n'aies pas peur...

L'idée de base,
N'est pas mauvaise,
Mais manque d'emphase,
Et peut paraître niaise,

J'entame un dernier quatrain,
4x4=16 vers,
Le compte est bon, point,
Final de ce poème à revers...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:43
Pernicieuse, elle est,
Un mystère que j’aimerais,
Percer de tous côtés,

Ses cheveux noirs,
Où j’aimerais que glissent,
Mes longs doigts lisses,

Ses yeux noirs,
Pleins de malice,
Et de vice,

Me clouent sur place,
En un éclair, je vois clair,
Dans son jeu rempli d’as,

Inutile de se voiler,
La face,
Je suis bien trop laid,

Son silence,
Son regard muet,
Ses lèvres effilées,

Aphrodisiaque criard,
Auxquelles s’accrochent,
Mes espoirs les plus gauches,

Son minois de poupée,
Malice au pays des merveilles,
M’attire comme le miel, les abeilles,

Son sourire magnifique,
Aux vertus maléfiques,
Vous rendrait presque Catholique,

Ses petits seins pointus,
Où doivent trôner fièrement,
Deux tétons têtus, que je désire ardemment,

Des hanches mates,
Je plonge dans ce propice,
Précipice où je me hâte,
Je me précipite, échec et mat,

Un regard céleste,
Plein d’ennui,
Où règnent en parfaite harmonie,
Etoiles, et nuit la plus complète,

Deux paumettes roses,
A croquer pour qui l’ose,
Obsédante névrose,
Qui remplit le cœur d’équimoses,

Un petit nez abandonné,
Au milieu de tant de beauté,
Il a vraiment su,
S’adapter à cette vue,

Il s’est fondu au paysage,
De ce magnifique visage,
Qui à son tour, vengeance sauvage,
Fait fondre les hommes, même les plus sages…
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:42
En liesse je dresse,
Un patron,
De notre perverse,
Union,

Une ébauche,
De la Débauche,
Un croquis qui,
Serait exquis,

Un portrait qu'aucun,
De nous veut,
Un portrait coquin,
De nous deux,

Une toile,
De nous nus,
Deux étoiles,
Portées aux nues,

Je te déshabille,
Toi, tes fesses malhabiles,
Fluorescentes qui brillent,
Et m'obnubilent,

Alors que ta lune nubile,
Sous mes yeux frétille,
Moi qui suis si peu viril,
Mes pupilles vrillent,

Je tourne de l'œil,
Face à ces deux roses,
Attendant qu'on les cueille,
Fraichement écloses,

Elles éclairent mes nuits,
Et en moi annihilent,
Toute forme d'ennui,
Il m'est fort difficile,

D'imaginer sans rire,
Qu'une telle constellation,
Puisse un jour souffrir,
De constipation,

Ta voute,
Céleste,
M'envoute,
Elle empeste,

Le doute,
Et l'infeste,
Elle me coûte,
La peau des fesses,

Quel cul bénit!
Deux étoiles filantes!
En bon dilettante,
Je fais le vœux abruti,

Que dure cet instant T,
D'immense démence,
Ce point G,
Détente intense,

Deux météorites,
Deux comètes,
En fusion jusqu'au coït,
Effusion de gamètes,

Pour toi,
Je fais feu,
De tout bois,
Tout feu,

Tout flamme,
Feu de joie,
Pour ma jolie femme,
De joie,

Feu d'artifice,
Peu banal puisqu'anal,
Où chacun de tes orifices,
Complices coupables,

Contribue à faire de ce point final,
Un délit de malice, un régal, un délice,
Qui restera dans les annales,
De la Poésie comme du Vice...
(2010)
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:38
La Planète est une platine,
Une plaque tournante,
Que piétine la patine,
Du Temps qui chante,

Chacune de nos vies nulles,
Est un vinyle,
Qui au fil des émules,
S'annule et s'annihile,

45 Tours de manège,
Ou de magie?
Mélodies en arpèges,
Ou en désaccords de "si"?

Je ne vous fais pas de dessin,
Et c'est à dessein,
Car le refrain de nos vies effrénées,
Vous le connaissez comme du Trenet,

Notre temps nous le passons,
Et c'est con, à tourner en rond,
Nous le pourchassons,
De notre mieux, en chanson,

S'ils existent, Dieu, Jésus,
Ne sont jamais que des DJs,
Jonglant avec nos vies,
Comme un clown de rue,

Baladins de génie,
En qui personne ne croyait,
Artistes incompris,
Que la Morale broyait,

Jusqu'au jour où,
Par malheur,
Ils trouvèrent le Pape à leur goût,
Ce parfait manager,

Hip hop, Mig mac,
L'affaire était dans le sac,
Cric crac,
Dans la baraque,

Nos deux DJs se mirent,
Au bling bling, aux diamants,
Avec en ligne de mire,
L'entrée au firmament,

Leur ambition? Devenir,
Khalife à la place du pontife,
Tsars des stars en devenir,
Avec la Peur pour leitmotiv,

Le Monde ne change pas,
Mais les vinyles quant à eux,
Se succèdent pas à pas,
Sans qu'il n'y en est jamais deux,

Qui ne se ressemblent, s'assemblent,
Et c'est pour cela, je crois,
Que nous ne parvenons pas,
A vivre ensemble,

Nous sommes autant de notes,
Sur la partition de la vie,
Cette symphonie idiote,
Que rythment nos envies,

Nous sommes autant de notes,
Solitaires, perdues, abandonnées,
Nous sommes tous les hôtes,
De l'arbitraire Destinée,

Pris séparément,
Nous ne valons rien,
Mais joués synchroniquement,
Main dans la main,

Dans le même temps,
Dans l'union de nos lendemains,
Par chaque instrument,
Chaque musicien,

Dans l'harmonie hystérique,
Dans la magie la plus totale,
Dans la frénésie historique,
La plus globale,

Par chaque continent,
Chaque nation,
Chaque génération chantant,
A l'unisson,

Nous serions bien plus,
Que de simples notes perdues,
Plus ou moins compliquées,
Graves ou complexes à exécuter,

Le Capitalisme,
Est une forme de solfège,
Théorie empreinte de favoritisme,
Dans le partage des richesses,

Pour nous mener à la baguette,
Je ne vois qu'un chef d'orchestre,
Nul besoin pour gâcher la fête,
D'un chef d'état, homme-orchestre,

S'agitant de tout son corps,
En une cacophonie de gestes,
Aussi absurdes que le bruit qui sort,
De sa bouche, ce pipo infeste,

Désirez-vous connaître la vérité nue?
Sachez donc qu'elle nous est inconnue,
Alors à quoi bon vouloir porter aux nues,
Une paire de divinités qui se baladent culs nus?
(2010)
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